Die Hard 4 : Retour en Enfer

“C’est mon boulot ça… je suis cryptographe.”

“Y’en a qui font vraiment pitié.”

“Tiens, je connais ce ton. Ça fait drôle de l’entendre de la bouche de quelqu’un qui a des cheveux.”

“La récré est finie, chérie !”

“Mon père est flic, la force de l’habitude.”

“J’en ai plein le cul de ton kung-fu… j’en ai connu des garces, mais toi…!”

“Je suis pas un héros, c’est mon métier. Je le fais c’est tout !”

“Vous deux, les p’tits génies, ne vous approchez plus de moi.”

“On a percuté un arbre ! Nous sommes en danger ! (…) Papa, je t’aime, tiens le coup ! (…)” Dolorès, je sais pas si vous avez un père mais moi j’en ai un et j’aimerai pouvoir le dire encore dans un an… Mon papa à moi c’est mon héros.”

“Tu croyais qu’un embouteillage maison et une bagnole qui m’tombe dessus, ça m’arrêterait ?”

“Un truc qu’on a inventé dans les années 60, le Jogging, tu vas adorer… allez viens !”

“Thomas a fait tomber le réseau de l’aérospatial avec un téléphone. Juste pour montrer son point de vue.”

“Je crois pas que ton papa va venir.”

“Les 70s ? C’était quand Michael Jackson était encore noir ?”

“Quoi ? Tu as dis à ce bouffon que j’étais mort !”

“Bien sûr qu’ils paniquent. Ils pensent qu’on leur vole leur argent. Ils s’y accrochent les braves gens à leurs économies. Ce sont les imbéciles utiles comme disait Lénine.”

“Vous trouvez qu’on a des têtes de vainqueurs là ?”

“J’ai créé un malheureux p’tit bout de code et le monde bascule. C’est du terrorisme virtuel !”

“Attendez ? Vous écoutez les infos ? (…) L’info est totalement manipulée. Tout ce qu’on entend à chaque minute de chaque jour est conçu par l’ensemble des médias dans le but d’atteindre un seul et unique objectif. Vous savez lequel ? Créer un climat de frayeur…”

“J’en connais un qu’aurait bien besoin d’un p’tit coup de viagra pas cher… Aller, vas-y, sers toi ! Maintenant que ta fiancée est morte, avec nos gentilles petites célibataires pour te consoler.”